Là ou journée des peintres peignait le village.Pour la première fois, j’ai choisi une série de paysages du village et de mon environnement très proche. Gine Guibout L’hiver dernier, dans sa balade, quasi quotidienne de 2 km, Gine Guibout en avait profité pour croquer La Carneille : « je pars avec un papier aquarelle, de l’encre de Chine ou du feutre, et je réalise un croquis à la volée sur place. Dans la soirée, je le mets en couleurs avec de l’encre ou de la gouache ».
Un motif toujours différent
Dans sa promenade rituelle, l’artiste « retrouve un motif toujours différent pour représenter La Carneille sous tous ses côtés : chez mon voisin, la barrière en face. Il n’y a pas besoin d’aller loin ».
Ces petits formats côtoient aussi des tissages de paysages découpés et retissés, qui avaient été réalisés dans le cadre de La cavée des artistes, et une ancienne série de fleurs.
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