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vendredi 9 août 2024

Dessiner le village par Abby

 Les gens qui viennent vous parler sont toujours bienveillants. Abby Roblet, dessinatrice de La Carneille Pour des raisons évidentes de météo, la pratique extérieure est destinée à la saison estivale. De plus, le siège est un outil devenu indispensable. « Quand j’étais jeune, je me posais par terre… Maintenant, j’ai besoin d’un support pour m’asseoir », sourit la femme.


la carneille
L’artiste a succombé au charme de la commune d’Athis-Val-de-Rouvre. ©Abby Roblet

« J’ai trouvé le village vivant, ces maisons sont magnifiques. Il est fleuri, joyeux et plein de vie. Malgré cela, il respire l’histoire. On ressent un lieu qui a un vécu. »

Outre le calme et la tranquillité de l’adresse, l’artiste souligne l’amour qui ressort du bourg.

En discutant, je me suis rendu compte à quel point ces habitants sont amoureux de leur village.

Abby Roblet, dessinatrice de La Carneille

Le dessin, une quête infinie

Entre ces quatre aquarelles sur La Carneille, l’artiste a vagabondé. « C’est un loisir, je fais en fonction de mes envies, par plaisir. » Dessinatrice depuis toute petite, la femme a repris il y a une vingtaine d’années.

« J’ai recommencé à dessiner… Je me suis dit que je n’étais pas si mauvaise que ça », rigole Abby. « Depuis, j’ai continué. »


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Le village de La Carneille peint par Abby Roblet. Elle est venue à trois reprises sur les lieux. ©Abby Roblet

Une pratique extérieure plus spontanée

Extérieur ou intérieur, ce n’est pas la même pratique pour l’artiste. « Chez moi, je peins des formats plus grands qui demandent plus de temps, environ quatre heures. Le coup de pinceau est moins spontané. »

Dehors, l’atmosphère n’est pas la même. « On est dans sa bulle. Je prends beaucoup de plaisir à peindre dans la rue, car on fait de belles rencontres




Source actu


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