Les gens qui viennent vous parler sont toujours bienveillants. Abby Roblet, dessinatrice de La Carneille Pour des raisons évidentes de météo, la pratique extérieure est destinée à la saison estivale. De plus, le siège est un outil devenu indispensable. « Quand j’étais jeune, je me posais par terre… Maintenant, j’ai besoin d’un support pour m’asseoir », sourit la femme.
« J’ai trouvé le village vivant, ces maisons sont magnifiques. Il est fleuri, joyeux et plein de vie. Malgré cela, il respire l’histoire. On ressent un lieu qui a un vécu. »
Outre le calme et la tranquillité de l’adresse, l’artiste souligne l’amour qui ressort du bourg.
En discutant, je me suis rendu compte à quel point ces habitants sont amoureux de leur village.
Le dessin, une quête infinie
Entre ces quatre aquarelles sur La Carneille, l’artiste a vagabondé. « C’est un loisir, je fais en fonction de mes envies, par plaisir. » Dessinatrice depuis toute petite, la femme a repris il y a une vingtaine d’années.
« J’ai recommencé à dessiner… Je me suis dit que je n’étais pas si mauvaise que ça », rigole Abby. « Depuis, j’ai continué. »
Une pratique extérieure plus spontanée
Extérieur ou intérieur, ce n’est pas la même pratique pour l’artiste. « Chez moi, je peins des formats plus grands qui demandent plus de temps, environ quatre heures. Le coup de pinceau est moins spontané. »
Dehors, l’atmosphère n’est pas la même. « On est dans sa bulle. Je prends beaucoup de plaisir à peindre dans la rue, car on fait de belles rencontres
Source actu
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