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jeudi 22 août 2024

ATHIS de l'Orne Samedi 24 août RDV à 14H30 à l'esTRAde

 

ATHIS de l'Orne

 Samedi 24 août RDV à 14H30
 à l'esTRAde 

Pour un Parcours Culturel entre ART et JARDIN durée environ 3h une visite ouverte à tous, commentaires en Français et Langue des Signes sous la forme d’un cheminement à travers 3 lieux: 
 Exposition à l’esTRAde d'Edith Gallot et Menoury&Laval visite guidée du jardin Intérieur à Ciel Ouvert exposition de Benoît Delomez à la galerie Libre 
Cours du jardin (commentaires de Dominique Delomez et d'Elsa Bertolli pour la traduction en Langue des Signes Française)

 GRATUIT 
- réservation conseillée au 02 33 65 70 38 - contact@delomez.net

 l'esTRAde - 16 rue Guy Velay - 
Athis de l'Orne

jeudi 15 août 2024

Flâneries à La Carneille sur les traces de Malherbe

 Malherbe a fait allusion aux studieuses flâneries de sa jeunesse, lorsque, la cervelle en rumeur, il allait, étant plus jeune, s'ébattre au bord de la rivière :


" L'Orne comme autrefois nous reverroit encore
Ravis de ces pensers que le vulgaire ignore
Esgarer à l'écart nos pas et nos discours.

Et couchez sur les fleurs comme estoilles semées
Rendre en si doux ébat les heures consumées
Que les soleils nous seraient courts  "


      
Esgarer à l'écart nos pas et nos discours.


  Dans  l' Impasse Bouquerel : 
Rendre en si doux ébat les heures consumées...

  Le soir : 
couchez sur les fleurs comme estoilles semées



      La Gine vers "
L'Orne comme autrefois"







vendredi 9 août 2024

Dessiner le village par Abby

 Les gens qui viennent vous parler sont toujours bienveillants. Abby Roblet, dessinatrice de La Carneille Pour des raisons évidentes de météo, la pratique extérieure est destinée à la saison estivale. De plus, le siège est un outil devenu indispensable. « Quand j’étais jeune, je me posais par terre… Maintenant, j’ai besoin d’un support pour m’asseoir », sourit la femme.


la carneille
L’artiste a succombé au charme de la commune d’Athis-Val-de-Rouvre. ©Abby Roblet

« J’ai trouvé le village vivant, ces maisons sont magnifiques. Il est fleuri, joyeux et plein de vie. Malgré cela, il respire l’histoire. On ressent un lieu qui a un vécu. »

Outre le calme et la tranquillité de l’adresse, l’artiste souligne l’amour qui ressort du bourg.

En discutant, je me suis rendu compte à quel point ces habitants sont amoureux de leur village.

Abby Roblet, dessinatrice de La Carneille

Le dessin, une quête infinie

Entre ces quatre aquarelles sur La Carneille, l’artiste a vagabondé. « C’est un loisir, je fais en fonction de mes envies, par plaisir. » Dessinatrice depuis toute petite, la femme a repris il y a une vingtaine d’années.

« J’ai recommencé à dessiner… Je me suis dit que je n’étais pas si mauvaise que ça », rigole Abby. « Depuis, j’ai continué. »


la carneille
Le village de La Carneille peint par Abby Roblet. Elle est venue à trois reprises sur les lieux. ©Abby Roblet

Une pratique extérieure plus spontanée

Extérieur ou intérieur, ce n’est pas la même pratique pour l’artiste. « Chez moi, je peins des formats plus grands qui demandent plus de temps, environ quatre heures. Le coup de pinceau est moins spontané. »

Dehors, l’atmosphère n’est pas la même. « On est dans sa bulle. Je prends beaucoup de plaisir à peindre dans la rue, car on fait de belles rencontres




Source actu