Les arts rivalisent avec les lettres. La douceur du ciel normand
et les reflets changeants de sa lumière ont toujours tenté les peintres.
Qui saura traduire les teintes infiniment délicates, vertes, fauves
ou violettes des ardoises mouillées, à l'orée des bois de la mousse? Qui repro-
duira d'un pinceau heureux et souple les rayons moirés du soleil
sur les forêts , les herbages , les maisonnets de La Carneille
Qui dessinera les ombres fantastiques des chimères de notre église sur les pignons désuets de
nos maisons ? Quel audacieux fixera sur la toile les multiples aspects
de la Gine tout à tour pacifique et sauvage ? A chaque
siècle notre question soulève l'écho de grands noms. Citons seule-
ment à titre d'exemples ceux de Nicolas Poussin, de Géricault,
de Millet...
nos maisons ? Quel audacieux fixera sur la toile les multiples aspects
de la Gine tout à tour pacifique et sauvage ? A chaque
siècle notre question soulève l'écho de grands noms. Citons seule-
ment à titre d'exemples ceux de Nicolas Poussin, de Géricault,
de Millet...
la Carneille par Claude Bocquillon
le lavoir par Olivier JAMES
Suivi d'une exposition en août de l'artiste plasticienne "Gine"
Une reprise qui coïncide avec le lancement de la Cavée des artistes qui ouvre ses deux mois d’exposition sur le thème général des pêcheurs de lumière.
Gine
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